En croisant l’autre jour la mésange ci-dessus, je me suis souvenue que quelques autres petites bleues au plumage en pétard dorment dans ma photothèque.
Il y a en de deux types: les « peluches », toutes rondes, plumes gonflées pour résister au froid; et les « mouillées »: elles viennent de prendre un bain – ceci même en plein hiver! – et se sèchent sur une branchette en se lissant, en se gonflant, en se secouant. Apparemment, la mésange bleue est très coquette!
Mars 2015. Il neige et pourtant la mésange semble avoir pris un bain.
Pour l'anecdote, cette photo s'affiche dans la vitrine de "ma" coiffeuse qui m'a proposé une coupe de cheveux en échange. La mésange est censée illustrer le "avant-le-passage chez-la-coiffeuse". Une autre photo dans la vitrine, d'une hirondelle au plumage lisse, représente "l'après".
Début janvier 2016. Il fait froid mais elle a quand même pris son bain.
Début mars 2016. Il faisait frais.
Sans prétendre comprendre le langage des mésanges, là je suis à peu près sûre qu'elle pense: "C'est lundi... et il pleut." (début mars 2016)
Janvier 2016. Plumes gonflées pour résister au froid.
En quatre arrêts sur image: un séchage tranquille mi-avril 2016...
... on va chercher les points qui grattent...
... on se secoue le popotin...
... pour se retrouver toute propre, plumes bien rangées.
Avril 2016, les jours allongent vraiment, les températures s'adoucissent. Séchage au soleil couchant.
Avril 2016, encore. Peu de lumière en cette fin d'après-midi.
Dès le lever du soleil, le vent soufflait aujourd’hui, vent du Sud, chaud, en bourrasque. Maraude difficile, donc, d’autant que la lumière était… bizarre. Sombre…
… j’aime croiser une coccinelle telle celles que je dessinais enfant. Rouge, un vrai rouge, avec trois points noirs sur chaque élytre, plus un derrière…